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Nouvelle conversation, cosmique avec Sébastien Peyrol de Inalterra, autour du Earthing (Grounding), ou l’importance de la reconnexion à la Terre du point de vue électromagnétique, l’impact des appareils électromagnétiques sur notre biochimie, notre santé et notre longévité, et les dernières nouveautés du quantique pour nous aider à retrouver un équilibrage énergétique : mythes ou réalité scientifique ?
00:00 Introduction
03:30 Sponsors
04:55 Prise de contact entre Sébastien Peyrol et Slim
05:59 Quel genre d’interviews veut faire Sébastien avec son nouveau set-up ?
10:13 Comment Sébastien s’organise-t-il dans la vie ?
11:51 Quel est l’approche de l’apprentissage de Sébastien, en tant que HP ?
13:28 Pourquoi faut-il se responsabiliser dans son esprit et son corps ? Pourquoi le développement personnel n’aide pas forcément à s’autonomiser ?
22:50 Que pense Sébastien des gens fatalistes qui pensent qu’on court à la catastrophe ?
25:27 Que pense Sébastien des relations hommes/femmes ?
27:32 Sébastien s’intéresse-t-il aux mystères, aux ondes, à la connexion à la nature ?
35:56 L’importance de trouver son “pourquoi” pour devenir incorruptible
38:05 Pourquoi la claque pédagogique fonctionne mieux que la douceur pour avancer ?
40:53 Que pense Sébastien de la fabrique de l’univers ?
45:02 Quel est le rapport de Sébastien avec la mort ?
47:32 Comment utiliser les bons outils pour améliorer la vie des gens ? Avancer passe-t-il par soi d’abord ?
53:14 Quelles compétences essentielles l’homme moderne devrait-il apprendre ?
57:13 Comment aborder la question d’un monde qui va devenir de plus en plus technologique ?
01:03:56 Pourquoi passer en filaire par rapport aux ondes ? Comment rééquilibrer son corps par rapport aux ondes ?
01:07:20 Quels sont les appareils quantiques ? Comment sont-il utilisés ?
01:23:16 Que pense Sébastien des états modifiés de conscience ?
01:34:01 Est-ce que les ondes de la 5G nous impactent vraiment ?
01:39:17 Que pense Sébastien du transhumanisme ?
01:42:45 Comment Sébastien aborde-t-il la parentalité ?
01:51:40 Pourquoi conscientiser quelque chose qui fonctionne peut enlever son efficacité ?
01:54:18 Qu’est-ce qui anime Sébastien en termes d’exploration vers d’autres pays et d’autres cultures ?
01:58:40 Quelle était sa pratique de la Kizomba ?
02:02:23 Pourquoi se réapproprier les arts permet de s’autonomiser et de s’extérioriser réellement ?
02:04:38 Fin de l’échange, passage aux questions
02:05:07 Qu’utilise Sébastien pour s’informer ? Utilise-t-il Chat GPT ?
02:07:29 Le message à l’humanité de Sébastien
02:08:04 L’objet de moins de 100€ qui a changé la vie de Sébastien
02:10:42 La routine matinale parfaite de Sébastien
02:11:42 Le lieu et l’époque que Sébastien aimerait visiter
02:12:54 Y a-t-il un lien entre les voyages dans le temps et le terme “quantique” ?
02:14:00 Les dernières paroles de Sébastien
“Je lance des bouteilles à la mer en permanence et je prends ce qui vient”
Le problème est qu’il s’engage dans beaucoup de choses en même temps: sa vie de famille, ses projets d’interviews avec des experts de dispositifs quantiques, ses webinaires, mais aussi une formation de Earthing Guide, pour être certifié guide de remise à la terre.
Bref, un Mouvers à la vie bien remplie !
Sébastien compte interviewer des scientifiques spécialisés dans le quantique et vulgariser leurs propos pour les rendre plus accessibles à tous. Ces personnes-là ne sont pas les meilleurs communicants et ces sujets sont si pointus qu’ils peuvent en décourager plus d’un.
Alors comment Sébastien a-t-il consommé ces sujets-là sans se retrouver submergé ?
“Je suis un HP, j’ai besoin d’aller profondément dans les choses et une fois que j’ai bouffé le sujet, je passe à autre chose”, nous répond-il simplement.
Sébastien a un énorme besoin de comprendre mais aussi d’expliquer et de partager derrière. Car la vie, c’est passer à l’action !
Il nous raconte pourquoi il a arrêté de perdre du temps à réfléchir au sens de la vie et à attendre des messages de l’univers pour enfin prendre ses propres décisions et en assumer les conséquences.
C’est cela qui lui donne plus de sens depuis !
Avec Sylvain Noury, on parlait de l’importance de faire circuler la connaissance, qui agit comme un véritable vecteur d’élévation pour soi et pour les autres. Sans l’expérience, peut-on réellement comprendre ?
Prendre le contrôle de sa destinée est une question de responsabilisation et d’autonomie. On ne peut pas remettre la faute sur l’autre : nous devons nous-même nous faire avancer !
“Les gens qui inspirent sont ceux qui font des choses pour eux-mêmes” Plus tu es inspirant, plus tu inspires les autres !
Nous parlons de la tendance des créateurs de contenus à faire des vidéos de développement personnel. Le problème, c’est que ça n’attire pas les personnes qui veulent aller vers l’autonomie. Seulement ceux qui enchaînent des vidéos sans agir et cherchent des “pilules magiques” à leurs problèmes !
Florian Marrec, avec qui j’ai parlé longuement du monde de Youtube, pense également qu’on ne peut pas atteindre une réelle autonomie avec le développement personnel. Au contraire, il culpabilise les gens de ne pas en faire assez !
“La magie, c’est le langage des oiseaux. “L’âme agit”.”
Sébastien nous parle du monde de l’invisible qui existe bel et bien, mais qui, pour certaines personnes, n’est qu’un prétexte pour s’empêcher de guérir réellement. On cherche quelque chose ailleurs au lieu de se concentrer sur soi.
On est dans un monde de paradoxes, où les gens ont des avis opposés sur ces problématiques (IA, ondes, futur…).
“Mais si tu penses à la catastrophe, tu la crées un petit peu.”
Selon lui, il s’agit encore une fois d’être responsable face à ses actes. C’est notre choix de créer quelque chose de positif ou non, d’être la meilleure version de soi-même pour contribuer à quelque chose de mieux !
Une vision partagée par d’autres mouvers, comme VLCP Fabien qui veut être utile à la société et la servir correctement ou encore Florian Rousseau qui voit la démarche d’incarner et transmettre comme une trace positive à laisser sur Terre.
“Les hommes sont des diamants bruts et les femmes sont là pour les tailler et les faire croître”.
Sébastien pense que le rôle de la femme est fondamental et désire qu’elle prenne plus de place, notamment dans l’expression de son refus.
Nous parlons de cette difficulté qu’elles ont à dire “non”. Si elles ne se respectent pas, on ne les respecte pas.
Il invite donc les hommes à respecter leurs femmes pour qu’elles puissent avoir l’espace de se respecter et qu’elles apprennent à dire “non” au lieu de dire “oui”.
Ça facilite les choses pour la communication !
Porter des baskets, une mauvaise idée ? Jérémie Fiset nous en parlait en disant que marcher pieds nus permettait de développer les capacités d’adaptation du pied.
Ici, Sébastien va plus loin et nous parle de connexion à la terre et du fait que marcher pieds nus sur le sol naturel permet un échange bioélectrique. Cet échange agit sur le vieillissement des cellules, le sommeil, l’oxygénation et la circulation du sang. Il donne l’exemple d’Usain Bolt qui ne met ses chaussures que pour courir avant de les enlever juste après.
En termes d’ondes, nous parlons de la charge qu’est de penser à débrancher ses appareils ou à s’en éloigner à plus de deux mètres. Rééquilibrer sa fréquence en marchant pieds nus sur le sol est une solution pour neutraliser les effets négatifs.
Mais pourquoi la tendance du Earthing met-elle longtemps à prendre ? Sébastien mentionne le livre Connectez-vous à la Terre de Clint Ober, publié aux US il y a des années. Ce qui empêche l’Earthing de se développer, c’est la tendance des gens à se culpabiliser et à regarder ailleurs au lieu d’essayer d’agir sur eux-mêmes.
C’est par l’exemple que Sébastien cherche à faire la différence : il inspire car il pratique ce qu’il dit et trouve de nouvelles solutions.
“Il est important de se câbler sur soi, de s’aimer soi d’abord”.
A mes yeux, se responsabiliser, c’est aussi comprendre son pourquoi.
“Si tu sais pourquoi tu le fais, c’est bon.” Une fois que notre raison est verrouillée dans notre tête, nous devenons incorruptible.
C’est comme cela que l’on peut reprendre les rênes de son destin !
J’ai présenté à l’occasion de mes 30 ans, 30 leçons de vie qui m’ont marqué et qui me suivent depuis des années. Une opportunité d’aller plus loin sur cette thématique et sur le fil de ma pensée !
“Les gens qui m’ont fait avancer dans la vie, ce sont les plus grands connards que j’ai croisés” nous dit Sébastien, qui ajoute qu’il en est là où il en est parce qu’on l’a fait chier.
Il dénonce ceux qui culpabilisent les parents et les incitent à la douceur constante envers leurs enfants. Les parents ne savent plus quoi faire entre laisser passer ou trop réprimander des comportements.
“On ne meurt pas de leçons de vie et de frustrations”, nous dit-il, car il accepte le fait que s’énerver contre ses enfants lui arrive et que c’est naturel. Ca enseigne l’expression et la maîtrise de ses émotions quand c’est bien communiqué !
“Tout ce que je sais c’est que je ne sais pas.”
Sébastien nous raconte avoir arrêté de se poser des “pourquoi” qui n’ont plus de sens pour lui. L’expérience de notre vie ne peut pas répondre à ces “pourquoi” : on est là pour vivre, c’est tout !
“Il n’y a pas de réponses à chercher quand on veut être la meilleure version de soi-même, juste une expérience à vivre.”
Bien sûr, on peut parler de ces sujets, du fait que la matière est fait à 90% de vide, donc que tout est illusoire, que la gamme de couleur qu’on voit est faible… mais est-ce que c’est important ?
Faire de bonnes choses pour rendre les gens heureux, se consacrer aux choses positives, c’est ce qui importe pour lui.
Un avis intéressant, à contrepied de celui d’autres mouvers bien connus du podcast, comme mon bon ami Staiv avec qui je pars très loin dans le cosmos avec des considérations sur la vie, l’univers et la conscience,
“La mort, la mort du corps, l’âme hors du corps”, s’amuse linguistiquement Sébastien.
Il mentionne le film de 1999 Le 13e Guerrier duquel il sort une citation qui dit que la peur de la mort n’apporte rien à l’Homme.
La mort, c’est pas maintenant ! Il invite à ne pas se concentrer sur le passé ou le futur, mais à s’ouvrir au cadeau du présent et à faire de son mieux à chaque instant.
Comme pour la fabrique de l’univers, il admet qu’on pourrait philosopher car il a lu sur le sujet, Les Thanatonautes de Werber sur Werber, Voyager entre les mondes d’Anne Givaudan, le Nosso lar… mais que fait-on de ces connaissances après ?
Pour Sébastien, vouloir comprendre ces connaissances et aller au fond des choses pour accepter ces principes est ok, mais il faut ensuite passer à autre chose !
La mort est un sujet qui revient souvent sur le podcast. J’en parle avec Stéphane Rodrigues qui allie peur de la mort avec la peur de la souffrance, Arnaud Dupin qui associe notre capacité à prendre des risques avec le rapport qu’on entretient avec la mort ou plus simplement avec Davy Gallon qui nous partage un outil puissant : méditer sur la mort.
Sébastien essaie d’avancer à l’instinct plus qu’à l’intuition. Il se base sur l’observation de la nature en regardant ce qui fonctionne et en cherchant à le reproduire. Il mentionne aussi la notion de confort : si ce n’est pas naturel, c’est agréable. Il est donc normal de chercher à l’atteindre dans son quotidien.
Mais comment y parvenir ? Si on prend l’exemple d’un écovillage, il faut de la connaissance et des compétences pour que le concept marche. Mais il faut d’abord avoir fait un travail personnel avant de collaborer. A plusieurs, on va loin, c’est vrai, et, même, pour Nicolas De Paoli, on savoure encore plus le chemin.
Mais si tous les collaborateurs n’ont rien à apporter, n’ont aucune connaissance, ils ne vont pas avancer !
C’est exactement le positionnement de Florian Marrec. Pour lui, se construire tout seul permet aussi d’être en mesure de donner de la qualité une fois qu’il est prêt à collaborer avec les autres.
Sébastien conseille d’au moins s’y intéresser mais surtout pratiquer ! L’expérience est plus importante que la connaissance.
Cette sélection fait écho aux propos de Loïc Diat avec qui on parlait longuement du monde de demain, de savoir se débrouiller sans les technologies et des qualités essentielles qu’il nous faut apprendre pour survivre. On pense aussi à David Manise et à ses stages de survivalisme si on va au bout du sujet et de la thématique !
La connaissance est d’ailleurs très accessible aujourd’hui avec internet. Dans toutes nos heures passées sur les écrans, investir seulement 15 minutes pour apprendre quelque chose peut faire la différence.
Les gens qui nous dirigent ont réussi à nous impacter avec leur vision technologique du futur. Pour beaucoup, il y a un sentiment de résignation : quoique l’on fasse, on s’y dirige. Mais c’est avant tout une histoire de consentement à aller vers ça : certaines vont le vouloir, d’autres vont résister.
Mais en attendant, il faut trouver des solutions pour survivre dans le monde d’aujourd’hui : l’autonomie financière, alimentaire… et cela implique de travailler, de capitaliser pour comprendre qui sont les organismes qui nous dirigent.
Pour Sébastien, l’idée est surtout que chacun doit faire de son mieux, sans tomber dans les pièges de la division et du rejet de l’autre.
Peut-on tous s’extirper de la matrice ? “Dieu ne mettra devant toi que les obstacles que tu pourras surmonter”, nous répond-il.
Quand on peut passer en filaire, autant le faire. Cela permet moins d’ondes et il y a une meilleure connexion qu’en WIFI.
Sébastien nous parle de la housse anti-ondes qu’il a mise sur sa boxe qui, sans supprimer totalement les ondes, ne fait que diminuer la portée du wifi chez lui.
Il parle aussi de ces objets boucliers (qu’on peut retrouver sur sa boutique), comme des sacs ou des étuis anti-ondes dans lesquels mettre son téléphone pour diminuer l’impact qu’il aurait si on le mettait directement dans sa poche.
Mais il conseille surtout le rééquilibrage via le Earthing et des dispositifs quantiques comme Wave Protect France, qu’il a pu tester grâce à des tests musculaires kinésiologiques qui lui ont montré leur efficacité.
A porter sur soi, ces appareils quantiques se composent d’une multicouche de matériaux différents, avec une forme différente, qui, compressés, émettent une fréquence. Ces fréquences permettent de mieux agir sur les radicaux libres, d’agir sur l’inflammation et sur la circulation du sang.
Pour en savoir plus, tu peux aller lire cet article sur le site de Sébastien.
On peut les utiliser dans le cadre du sport pour une meilleure performance : Djokovic en utilise par exemple !
Sébastien nous explique à quel point cela a fonctionné sur lui, notamment lors de sa reprise de la boxe après dix ans de non-activité. Alors que les débuts ont été difficiles, dès qu’il a intégré ces dispositifs pendant ses entraînements, il a vu une énorme différence.
Il rappelle que ces dispositifs sont là pour aider : leur usage reste instinctif. On peut réguler la puissance selon nos ressentis.
Sébastien, lui, ne cherche pas à se booster et règle ses dispositifs seulement pour l’emmener à un état normal et sain.
Sébastien s’y est intéressé via les tambours chamaniques, le spectre lumineux, etc.
Mais quel est le but en atteignant ces états de conscience modifiés ? A l’époque, lui voulait atteindre un état magique auquel il n’avait normalement pas accès. Mais “mettre les pieds là où c’est pas chez toi, quel intérêt ?”
Je parle alors de l’usage de la psilocybine pour son côté thérapeutique, comme les addictions ou les traumas. Pour Sébastien, s’il y a moyen d’atteindre un niveau inconscient pour offrir un impact physiologique, c’est bien.
Dans son approche, puisqu’il ne travaille pas auprès de gens qui ont des traumas, il préfère simplement mettre des “coups de pieds au cul” au lieu d’utiliser des psychédéliques.
Encore une approche à contrepied de ce qu’on retrouve habituellement sur le podcast. Si tu veux en savoir plus sur la psilocybine, Dylan Rousselet et Victoria Pollastri nous parlent de leurs expériences respectives !
Je mentionne alors les dispositifs quantiques : jusqu’où peut-on aller avec ?
Pour l’instant, Sébastien ne voit que de belles avancées et des améliorations vers des choses positives (moteurs quantiques en Inde, lits médicaux…).
Mais les dérives sont possibles tant que l’humain n’aura pas appris à s’apprivoiser lui-même.
La 5G sont des ondes à courte portée très puissante. Il ne sait pas si elles nous impactent réellement mais il est sûr qu’elles ont une possibilité de radioactiver des choses. Il est même possible qu’à une certaine puissance, elles peuvent déclencher des choses, comme des maladies. Se connecter à la terre permet de se prémunir de l’impact de ces ondes-là.
Nous nous questionnons sur l’impact de ces choses qui peuvent être négatives. Et en même temps, est-ce que ce sont ces mauvaises choses qui vont faire avancer l’humanité ? On peut transformer du mauvais en négatif.
Ici aussi, il s’agit d’une histoire de consentement. A l’homme de faire ses propres choix !
Sébastien croit en la capacité d’adaptation de l’humain : rien n’est grave, chacun va s’adapter et expérimenter ce dont il a envie. Du moment que les gens le laissent faire ce qu’il veut, il fait de même.
Ca n’implique pas de tout accepter, car certaines choses ne sont pas acceptables. Mais qui sommes-nous pour dire “ne le fais pas” quand ça ne fait pas de mal aux autres ?
“J’ai beaucoup appris sur moi grâce à mes enfants”.
De nombreux parents seront d’accord : les enfants changent la vie. Sébastien comprend qu’il met entre parenthèses sa vie pour eux. Il a d’ailleurs une vision très intéressante de la parentalité et de ses effets : pour lui, plus les enfants sont ingrats, plus les parents leur apportent des choses !
Il ne regrette rien de ce qu’il a fait dans sa vie : il était inconscient, et faisait simplement les choses sans réfléchir.
Il nous explique qu’il avait envie d’expérimenter. “Au pire qu’est-ce que je risque ?”
Aujourd’hui, il veut inculquer à ses enfants cette idée d’explorer, tout en les cadrant et en leur imposant des règles.
Pour lui, être un parent est une étape nécessaire pour apprendre pleinement à vivre avec les autres.
“Tu ne peux pas apprendre quoi que ce soit à tes enfants”, ajoute-t-il quand il m’explique qu’il dit à ses enfants ce qu’il pense, mais qu’ils en font ce qu’ils veulent ensuite. Cela fait écho aux paroles de Stéphane Rodrigues à propos de son fils : “Je suis son mentor de vie, mais son itinéraire de vie est le sien”.
Il nous raconte avoir interviewé son fils un jour et qu’il a pu voir une facette de lui qu’il ne montre habituellement pas à ses parents.
“Dès le moment où tu veux mettre la main sur quelque chose, tu ne l’as plus”
Certaines choses fonctionnent parce qu’elles n’étaient pas calculées justement !
On peut le transférer dans le domaine du mouvement. Quand Ido Portal parlait des différentes zones d’apprentissage, il expliquait que lorsqu’on apprend un nouveau jeu/un et qu’on y parvient finalement, la magie est terminée. Il n’y a pas besoin de le refaire, sinon on va retomber dans un mode d’automate qui répète les choses sans les comprendre.
L’idée est d’évoluer de mouvement en mouvement, de moment en moment sans chercher à saisir les choses, simplement les laisser comme ça, et devenir plus alerte et présent pour les repérer…
Alors que Sébastien nous raconte son intérêt pour les différentes cultures du continent africain et de son background de Kizomba, je ne peux pas m’empêcher de partager le mien : avec ma soeur Sabou professeur d’afro, mon background de danseur de danses latines et de kizomba, avec des influences du Ghana et de l’Afrique du Sud. Leurs danses et leur musique ont cette connexion à la terre particulière à travers le bounce, le grounding, ce rebond par appui au sol.
Mais cette connexion est présente partout : dans cette vidéo, on peut voir le peuple massaï en train de faire du saut en hauteur et on remarque cette connexion particulière à la terre. Je l’avais même intégré à ma préparation physique à l’époque !
Je mentionne aussi une autre passion musicale, l’amapiano.
On apprend à chanter, danser et jouer bien avant de parler. C’est pourquoi il est important de se reconnecter à ses racines spirituelles et retrouver l’autonomie de son corps, une reconnexion corps cœur esprit.
Car danser ou même chanter réellement, c’est sortir des choses de soi-même, avoir la capacité de s’exprimer, de prendre de la place, de s’extérioriser. Et plus on prend confiance en soi pour le faire, plus on avance et on se respecte.
“Assume.”
~ Sébastien Peyrol ~
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