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Nouvelle conversation COSMIQUE avec Jack, de la chaîne YouTube Jack’s Team, avec lequel on échange autour de l’entreprenariat digital, du lien entre l’alimentation et les émotions, de l’impact l’IA sur nos métiers digitaux, de sa transformation sur YouTube, de ses clés pour être un parent exemplaire, des changements sur sa work life balance… Prise de notes indispensables 🙂
00:00 Introduction
03:26 Sponsors
04:28 L’importance d’avoir un lieu de travail qui nous plaît
09:40 Un outil que Slim utilise pour son podcast
11:35 Pourquoi est-ce important de se créer une tribu dans l’entreprenariat ?
15:21 Faut-il attendre de se construire soi avant de collaborer avec les autres ?
19:06 En quoi répéter les choses est à la fois une problématique et une nécessité pour Jack ?
22:43 Comment Fabien délègue-t-il ?
29:55 Y a-t-il la place pour un manager IA ? En quoi l’IA est-elle efficace ?
40:45 L’IA est-elle un danger pour le futur de l’humanité ?
48:54 La nouvelle direction de la chaîne de Jack : donner les outils pour développer le potentiel humain
01:08:36 Jack se met-il la pression au niveau de la productivité de la sortie des épisodes ?
01:13:58 Un contenu devenu viral a-t-il un réel impact ? Qu’est-ce qui pousse les gens à rester sur une chaîne ?
01:23:46 Que pense Jack des contenus de « motivation » sur Youtube ?
01:32:37 L’importance d’être aligné dans sa vie plus que d’être motivé.
01:38:52 Quel est le challenge derrière le fait de faire du contenu éducationnel ?
01:45:57 Que pense Jack du système ATG ?
02:00:30 L’approche de l’éducation de Jack par rapport à l’accès aux écrans
02:08:54 Pourquoi les troubles alimentaires sont-ils liés aux émotions que l’on associe avec la nourriture ?
02:19:23 L’importance du passage à l’action au-delà de la théorie
02:21:36 Le danger de la banalisation des mauvaises habitudes de vie
02:30:34 Fin de l’échange, passage aux questions
02:32:34 Un livre recommandé de Jack
02:35:54 Le message à l’humanité de Jack
02:36:45 L’objet de moins de 100€ qui a changé la vie de Jack
02:40:11 La routine matinale parfaite de Jack
02:47:09 Le lieu et l’époque que Jack aimerait visiter
02:54:55 Les dernières paroles de Jack
Je mentionne l’outil Riverside pour l’enregistrement de mes podcasts. L’une des fonctionnalités connues est l’extraction au format Tiktok et Instagram, mais avec l’IA, il est aussi possible d’exporter le podcast avec la transcription, mais aussi d’utiliser la fonction “Magic short” qui propose 20 shorts à utiliser pour ensuite les publier.
Un outil vraiment utile pour ceux qui veulent se lancer dans l’aventure du podcast !
Pour moi, il s’agit surtout d’un prétexte pour collaborer et créer ensemble. J’ai mon expertise et avoir la possibilité de m’entourer de personnes qui ont les leur permet de mieux servir les autres ! C’est ce que nous avons fait avec mon ami David en créant un podcast commun SNAPSHOT, mais aussi avec Staiv avec qui j’ai organisé la Movement Week 2023.
La vie d’entrepreneur est très solitaire. Pouvoir aussi simplement discuter et échanger avec des personnes qui résonnent est non seulement bénéfique pour soi, mais aussi pour ses projets.
L’entrepreneur règle constamment les problèmes des autres ; mais où sont les personnes qui aident à régler les siens ?
C’est en tout cas ce que Jack a fait, surtout par égo au début.
Pour lui, l’égo est utile pour se construire, quand on veut bien faire et prendre des responsabilités. Mais il peut aussi être négatif quand :
Mais au bout d’un certain temps, un groupe ne fonctionne non pas parce qu’il a besoin d’une star, mais parce qu’il a besoin d’un coach !
Un coach met les gens au bon endroit, là où ils peuvent se développer. Mais cela signifie arrêter d’être le star player dans certains domaines.
Et que penser de l’idée de céder une partie de son projet et de laisser les rênes à quelqu’un juste pour observer où il va l’emmener ? Si l’idée l’intéresse, il en est encore loin.
Jack est encore en transition de coach :
“C’est pas que tu le fais au début moins bien que moi que tu le feras toujours moins bien que moi”
J’avais déjà posé cette question à Amine Berradi ou Nicolas de Paoli qui placent la collaboration comme une valeur fondamentale pour s’élever et “kiffer ensemble”. Quant à Florian Marrec, si la coopération est importante, il faut commencer par se construire tout seul pour être en mesure de donner de la qualité une fois qu’on est prêt à collaborer avec les autres !
Jack n’aime pas répéter les choses car ça lui donne l’impression d’être “chiant et inutile”, alors, par défaut, il ne le fait pas.
Pourtant, il sait la nécessité pour l’apprentissage d’entendre, d’écouter et de lire des choses plusieurs fois. Le cerveau a besoin de répétitions pour bien marquer une empreinte dans la mémoire, à l’image des techniques comme les flashcards et les répétitions espacées. Ce sont deux techniques parmi celles que Jérémy Coron mentionne lorsqu’il parle de méthodes efficaces d’apprentissage.
“C’est par la répétition que tu vas arriver à quelque chose.” nous dit d’ailleurs Martin, une phrase qui peut s’appliquer dans n’importe quel domaine, de l’entreprenariat aux arts martiaux !
Même s’il a encore envie d’être le coach ou le star player, il sait qu’il doit déléguer.
C’est le cas avec l’administration, car il apporte moins de valeur dans la gestion administration que dans son travail de coach.
Son approche est donc de placer les bonnes personnes aux bons endroits, et de driver et d’élever progressivement les autres. Les personnes déjà positionnées font du bon travail et font avancer la machine, et lui forme des personnes qui l’emmèneront plus loin ensuite.
Mais s’il peut déléguer sur l’exécution, il souhaite rester maître sur la philosophie, notamment dans les projets où il investit son âme. Bref, mettre des cadres très carrés sur le message de fond, mais suffisamment larges pour permettre la créativité.
La pierre angulaire qui lui manque actuellement est un manager, car il n’a pas cette fibre-là.
Pour comprendre un peu plus la vision de Jack, le livre E-myth, le mythe de l’entrepreneur revisité de Michael Gerber développe le concept de trois profils “entrepreneuriaux”:
Jack pense qu’un manager IA est encore tôt, notamment parce qu’il lui serait difficile de gérer les doléances des employés.
En revanche, c’est un outil efficace quand on sait l’utiliser pour améliorer son travail d’artisan (notamment dans l’écriture ou dans la vidéo), surtout quand on donne de nombreuses contraintes ou quand on a un bon prompt. Moi-même utilisateur des IA, je recommande d’ailleurs Chat GPT dans l’une des FAQ et en explique les raisons !
Jack nous parle d’une newsletter sur l’IA : IA Mania qui présente des nouvelles IA à tester toutes les semaines. Car c’est un outil qui se démocratise de plus en plus, pour les images comme Midjourney, pour des vidéos de présentation de projets, voire même des vidéos de simulation ! Tout devient possible, de plus en plus chaque jour.
“L’IA n’est pas dangereuse, c’est ce que l’humain peut faire avec qui l’est”
Est-ce que l’IA est responsable des solutions qu’elle donne à une entreprise qui veut faire quelque chose dans son unique intérêt ? Ou des solutions qu’elle donne pour régler la faim dans le monde ?
Si l’IA devient de plus en plus intelligente, qu’elle arrive à se coder elle-même et qu’on la drive pour sauver la planète : si elle considère l’humain comme une menace, est-ce que nous éliminer est considéré comme “méchant” ? C’est juste une solution !
Pour Jack, il est important de s’intéresser un minimum à ce sujet, en écoutant deux ou trois podcasts dessus pour au moins savoir les bases.
Jack a entamé un changement de direction quand il a décidé d’aborder le thème du cancer et de sa guérison naturelle avec l’artiste martial Fred Evrard, comme on le voit dans cet extrait.
Jack nous raconte que cette idée lui est venue quand il a reçu le livre Cancer Terminal de Guy Tenenbaum, qu’il n’avait alors pas ouvert, préférant en savoir plus avant de le lire.
C’est ainsi qu’il est tombé sur Youtube sur des vidéos de Fred, en lien avec ce fameux Guy Tenenbaum, qu’il le contacte pour un épisode de podcast qui explose sur Youtube.
Après son interview avec Fred, il dévore le livre de Guy Tenenbaum qu’il finit par interviewer, avant de le faire par la suite avec Gilles Lartigot.
C’est pour lui un moyen de présenter différents outils pour que les gens puissent piocher ceux qui les intéressent !
“Je suis un peu déçu par ce qu’on fait de nos vies”
Pour Jack, on se contente trop de ce qu’on a. On a tous pourtant un potentiel incroyable qu’on imagine pas possible et c’est pour cela qu’on ne peut pas y accéder.
“Je vois l’humain comme un potentiel non seulement pas atteint, mais parfois pas même envisagé”
Nous pouvons être plus que d’être fatigués, d’être dépendants de la malbouffe et d’être perdus dans nos vies.
La vision de sa chaîne est celle-ci : On peut faire mieux, et voici des outils pour le faire.
Et s’il y a des sujets sur lesquels on l’interroge et qu’il ne connaît pas bien, soit il se renseigne, soit il invite des experts pour en parler à sa place.
Son objectif à terme est d’avoir suffisamment de connexions pour leur demander de partager leur expertise quand il en a besoin.
Il souhaite apporter une grosse valeur à son audience, en créant un réseau et une collaboration !
C’est pour cette raison que chaque “apprenti podcasteur” doit persévérer : il faut créer des podcasts pour faire grandir une communauté sur ces sujets importants.
Il ne se la met pas car ce n’est pas la priorité. Il a le projet de faire des podcasts seuls, à l’image de Bedros Keuilian ou d’Andrew Huberman.
Il apprécie le podcast dans sa différence avec Youtube qui doit avoir un format beau et dynamique et qui nécessite donc des heures à produire (40h de travail pour 20 min de contenu !). Si tu souhaites en savoir plus sur les dessous du travail sur Youtube, Florian Marrec nous parle longuement de ses côtés sombres et de comment servir au mieux son audience.
Un podcast est moins demandant : il peut donc prendre le temps de parler en profondeur de certains sujets. D’être dans le fond et moins dans la forme !
C’est exactement mon intention avec Mouvers Lab, où je me retrouve seul devant mon micro pour décortiquer tous les meilleurs outils pour améliorer sa santé et développer le mouvement dans nos vies.
Un autre mouvers indifférent des formats est bien sûr Pierre Dufraisse, avec Vérisme TV, qui donne des cours de naturopathie entre 45min et 1h – un bon moyen de partager son domaine d’expertise en profondeur !
Sur Youtube, quand un contenu devient viral, les chiffres augmentent mais pas forcément l’audience régulière. Les gens s’intéressent à la vidéo, pas au créateur.
Mais ce n’est pas vrai sur un podcast ! Si on écoute quelqu’un pendant 40min, on finit forcément par connecter avec.
C’est donc l’occasion d’attirer des gens qui nous correspondent, qui sont intéressés par le message de fond et pas forcément pas les thèmes ponctuels de l’épisode.
Je parle de Tim Ferris et de Naval Ravikant avec lesquels je résonne parce que j’aime surtout leur manière de pensée. C’est ce que permet le podcast solo : plonger dans la pensée de quelqu’un !
Jack utilise les podcasts pour impacter son mindset. Ses écoutes sont différentes selon son humeur : le matin, il va vouloir être “hyper”, pendant une période d’introspection, il va se tourner vers des podcasts plus calmes…
Pour Jack, il s’agit d’un outil, à utiliser dans des situations dans lesquelles ils seront utiles. Par exemple :
Le problème survient quand on les écoute constamment. Car non seulement c’est toujours le même message, mais ça incite aussi à penser que c’est la norme. On se met à croire qu’il faut être impérativement comme ça.
Or, les équilibres et désirs de vie de chacun sont différents. Certains vont s’épanouir dans le salariat, d’autres dans l’entreprenariat, certains dans peu d’heures de travail, d’autres dans le double.
Il n’y a pas de recettes miracles : on a juste besoin d’être heureux dans ce qu’on fait. Et si les gens ne sont pas heureux, il faut leur montrer qu’autre chose est possible.
Pour suivre ces contenus, il peut être pertinent d’essayer avant tout de comprendre la façon de penser de ces gens et comment ils se sont dépassés, et non pas d’essayer de copier la vie qu’ils mènent.
“Les moments où je suis vraiment mal dans ma peau, c’est quand je ne suis pas aligné, c’est quand je fais un truc qui ne me correspond pas totalement”.
Jack nous parle du burn out, qu’il associe à cette problématique : il survient quand on n’est pas aligné avec ce qu’on veut vraiment et ce qu’on fait au quotidien.
C’est Stéphane Rodrigues qui mentionne aussi qu’on ne peut pas se tromper quand on est profondément aligné avec soi et qu’on choisit son itinéraire de vie en adéquation profonde avec ses valeurs et ce qu’on est.
Pour moi, l’alignement dépasse en effet la motivation. La motivation doit être intrinsèque. Il s’agit de trouver son feu intérieur ; je n’ai pas besoin de Goggins ou de musique pour me lancer.
La motivation crée des gens qui répètent les choses qu’ils voient, pas des gens qui s’alignent avec eux-mêmes.
Mais elle peut être utile, pour servir la discipline comme base ! Clément Lamirel nous explique d’ailleurs la différence entre la motivation et la discipline : c’est la première qui nous fait démarrer, mais c’est la seconde qui nous fait continuer !
“C’est le challenge d’apporter à la fois l’éducation et l’énergie”
L’éducation sur internet donne les outils, mais beaucoup de personnes attendent surtout qu’on les motive pour passer à l’action. C’est ce que Jack souhaite impulser dans ses propres contenus.
Mais pas pour qu’on copie exactement ce qu’il fait, non ! Plutôt qu’on comprenne sa manière de penser, ce qui l’a poussé à se dépasser : “Ma vie ne correspondait pas à mon niveau d’ambition”.
Changer ses habitudes de vie, c’est dur et ça fait mal !
Le plus difficile, c’est surtout la mise en action et le fait d’adapter ces changements à sa situation de vie pour les faire rentrer dans un système tenable pour le reste de sa vie.
Il n’est pas question de se priver : il est question de choisir ce qu’on fait et pourquoi on le fait. D’être aligné avec ce qu’on veut !
Avec Ipon Wav, nous abordons d’autres problématiques des contenus éducatifs sur internet, et notamment sur Youtube, la difficulté d’attirer sur la forme, l’exemplarité, l’envie de transmettre…
Le système ATG, fondé par Ben Patrick, nous a beaucoup inspirés, Jack et moi.
Ben Patrick n’a cessé pendant des années de rabacher le même message sur la répétition : c’est une preuve de bon sens que de ne pas se détourner de quelque chose qui fonctionne.
C’est à la suite d’une blessure que Jack découvre le système ATG. Ça résonne alors avec un concept qu’il a appris dans la formation StrongFit de Julien Pineau : la tension en amplitude. Le fait de bouger avec le plus d’amplitude possible mais avec la tension musculaire appropriée.
Si les principes d’entraînement de la méthode StrongFit t’intéressent, Victoria Pollastri nous les décrit, notamment au niveau biomécanique, et nous parle de la manière dont elle a adapté cette méthode pour servir au mieux ses clients.
Très rapidement, Jack implémente les exercices ATG pour lui et obtient de bons résultats, qui se confirment avec l’un de ses coachs, blessé au genou, qu’il accompagne et qui évite une opération.
Jack a donc cherché à intégrer ces exercices à sa propre méthode pour la rendre plus efficace !
Jack a suivi des principes éducatifs simples : pas d’écran quand son fils était tout petit, puis est passé à peu d’écran après un certain âge.
Mais qui dit peu d’écran dit aussi de faire attention aux contenus. Il cherche à lui montrer des contenus qui le font réagir, qui le font ressentir, des dessins animés intelligents, à regarder en famille ou tout seul. Pas des dessins animés creux et basés sur des stimulis de sons et de couleurs.
Car on peut faire le parallèle avec les adultes. Devant nos écrans, on se déconnecte de la vie. On vit des simulacres d’émotions sans les vivre réellement. On n’a plus besoin de faire un effort pour les vivre (porno, métaverse, nutrition…).
J’ai abordé cette thématique délicate avec de nombreux papas qui ont tous leur approche sur la question : Alex Tsuk décide de s’occuper de lui-même et ses enfants suivent, et si cela implique de regarder ensemble la télévision de temps en temps avec eux parce qu’il en a envie, cela sert d’activité familiale.
Pour Yacine Bouaissa, on ne peut pas couper ses enfants du monde digital, mais on peut faire en sorte qu’ils aient une vie suffisamment remplie dans la vie physique pour qu’ils aient envie de la vivre pleinement.
L’éducation de la plupart des gens a associé une notion de récompense et de réconfort avec l’alimentation. “Si tu es triste, on va manger. Si tu es content, on va manger.”
Cela crée la croyance qu’on peut changer son état émotionnel en mangeant.
Mais aussi qu’on peut recevoir une récompense sans efforts ! Car aujourd’hui, il est facile d’accéder à de la nourriture rapidement, prête à être mangée, contrairement au passé.
Et s’il est quelquefois utile d’avoir sous la main de la nourriture rapide, on en choisit rarement de qualité. Alors que la qualité existe.
Nous devrions pourtant manger des choses qui nous nourrissent, pas qui nous remplissent !
Il faut vouloir plus de la vie : élevons nos standards, ne nous contentons pas des choses qui “dépannent”.
La clé pour Jack ou pour moi, c’est d’être fasciné par la vie. C’est aussi comme ça qu’on passe à l’action ! Cela fait écho aux propos de Staiv Gentis et Pascal Lafleur qui voient l’enthousiasme comme une force pour s’épanouir et avancer dans sa vie en agissant !
Car c’est une erreur d’accumuler des tas d’informations sans jamais rien en faire. Ces informations doivent être transformées en savoir, c’est-à-dire qu’on en a tiré de la sagesse et des conclusions selon sa propre expérience personnelle.
L’une des raisons pour lesquelles on n’applique pas ce qu’on apprend, c’est que changer, c’est dur.
Mais c’est aussi parce qu’on nous enseigne qu’il est normal, passé un certain âge, d’avoir des kg de trop ou des mauvaises habitudes de vie, ou même des maladies qui n’existaient pourtant pas, ou peu, il y a des années !
“Avec les progrès de la médecine actuelle, comment expliquer pourquoi on ne vit pas jusqu’à 100 ans confortablement ? Comment peut-on avoir une espérance de vie qui baisse dans le monde industrialisé ?”
Jérémy Coron nous en parlait déjà : les bonnes habitudes de vie sont vues comme des privations, comme de l’anormalité. Jack nous raconte qu’on le regarde de travers parce qu’il ne donne pas de sucre à ses enfants. Mais il s’agit d’une mesure du quotidien, pas des anniversaires ou de Noël.
En alimentation, il n’y a pas besoin d’être strict quand on est en bonne santé. Ce n’est qu’en cas de maladies complexes que les écarts se payent.
Jack souligne l’importance de faire la différence entre l’alimentation de base et l’alimentation ponctuelle.
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~ Jack ~
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