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2ème Round avec mon frère de lumière VCLP Fab qui nous fait voyager dans le cosmos, et nous amène à relier le Mouvement, la Conscience, l’Alimentation. On parle des changements de mode de vie que Fabien à opéré depuis notre dernier échange il y a 3 ans. On parle de ses passions pour le tir à l’arc, son expérience avec la van life et le régime OMAD, puis on décolle sur la conscience universelle et l’avenir de l’humanité.
00:00 Introduction
03:38 Sponsors
04:42 Prise de contact entre Fabien et Slim
07:03 Comment est-ce pour Fabien de se sédentariser ?
09:47 Comment s’est déroulé son aventure avec la van life ?
15:38 Quelle est la pratique de Fabien avec le tir à l’arc ?
21:11 Pourquoi Fabien a-t-il envie de se remettre à voyager à longue distance ? Pourquoi est-il attiré par les espaces ruraux ?
32:26 Qu’on soit sédentaire ou nomade, sommes-nous toujours en quête d’une communauté, d’un tissu social ?
43:51 Comment le rapport de Fabien avec la digitalisation de son business a-t-il évolué ?
53:42 Fabien songe-t-il à utiliser d’autres formats que l’écriture pour ses contenus ?
59:33 Que transmet Fabien dans ses cours ? S’en tient-il à la pratique ou cherche-t-il une approche plus holistique ?
01:14:39 Est-ce difficile d’enseigner un art qui n’est pas lié à sa propre culture ?
01:23:27 Est-ce que l’absence de compétition enlève de l’efficacité à la Movement Culture ?
01:28:45 Fabien a-t-il des sources d’inspiration dans sa pratique ?
01:36:00 Quelles théories sur la physique quantique intéressent Fabien ?
01:42:20 Pourquoi Fabien pense-t-il que l’humanité se dirige vers un futur positif ?
01:49:11 Tout est-il “conscience” ? Sommes-nous tous reliés ?
01:56:03 Fabien a-t-il expérimenté des outils exogènes d’exploration de la conscience ?
01:57:24 Comment a évolué sa pratique de la méditation ?
02:03:40 Quelles sont les inspirations de Fabien dans le monde du mouvement ?
02:09:29 L’évolution de la routine alimentaire et de pratique de Slim
02:20:41 Slim sent-il des impacts négatifs à manger très souvent la même chose ?
02:26:00 Quel est le régime alimentaire de Fabien ?
02:30:15 Fin de l’échange, passage aux questions
02:31:49 Un livre recommandé de Fabien
02:32:35 Le message à l’humanité de Fabien
02:33:23 L’objet de moins de 100€ qui a changé la vie de Fabien
02:35:20 La routine matinale parfaite de Fabien
02:37:54 Le lieu et l’époque que Fabien aimerait visiter
02:39:31 Les dernières paroles de Fabien
Fabien a longtemps voyagé et a fait même partie de ces mouvers du podcast qui s’étaient expatriés, notamment au Canada. Mais depuis le Covid, il est revenu à Tours où il est finalement resté, suite à l’émergence d’opportunités pour faire du coaching en présentiel. Cette partie physique de son activité lui a plu.
Mais aujourd’hui, le voyage lui manque !
Voyager en van est pour Fabien très accessible et facile à faire pour qui a un côté aventurier. “Tu sais quand tu pars mais tu ne sais pas vraiment quand tu reviens.”
Côté entraînement, il fait beaucoup de randonnée ou court en montagne. Il transporte aussi quelques objets minimalistes, comme des anneaux ou son arc.
L’idée est de se rapprocher de la nature, loin des facilités de la ville : il faut planifier sa vie nomade en bonne santé, en termes de nourriture, d’eau, etc.
Car c’est un excellent moyen de se reconnecter à son environnement : il boit l’eau des montagnes, interrompt sa course pour cueillir des champignons…
Pour tirer à l’arc, il faut un état de conscience calme. Cela fait écho avec le livre La Voie de l’Archer de Paulo Coelho.
Fabien cherche à rencontrer ce flow et cet état de quiétude – qui est finalement un état de conscience idéal pour de nombreuses pratiques.
Il n’a pas d’attentes sur l’arc : “Si tu touches pas, tu sais que ça vient de toi”. L’arc souligne ce qui ne va pas à l’intérieur. C’est une approche très méditative : si l’outil n’est pas le même, la pratique est similaire.
Ce travail d’observation, d’élévation de conscience fait partie des grandes bases pour lui, auprès de la pratique des arts martiaux, du contact avec la nature ou d’une bonne alimentation.
S’il s’est donné à fond ces dernières années dans son enseignement, Fabien sent qu’il y a un manque et qu’il est temps de se recentrer et de repenser à lui-même.
Il nous raconte son séjour en Mongolie à cheval, après avoir passé un mois à Shaolin pour apprendre le kung fu : le nouvel univers qui s’ouvrait à lui, le contact avec la nature, la communauté…
Nous nous questionnons sur notre amour de nous trouver dans des environnements dans lesquels on ne parle pas la même langue. Pour Fabien, on recherche la rupture avec notre environnement et notre propre culture. Cette énergie supplémentaire de ne pas être automatiquement connecté nous permet de faire du bien ailleurs.
Mais on n’a pas à partir loin pour trouver des états d’esprit différent et pour s’ouvrir à autre chose que ce que l’on connaît. Pour Fabien, simplement aller dans les territoires français de la campagne profonde est une opportunité de rencontrer des gens différents, comme la vallée de l’Ossau dans les Pyrénées. L’identité régionale est forte en France, elle se retrouve encore. Et ces gens ont beaucoup de choses à nous apprendre !
Je raconte une anecdote issue de mon périple avec mon ami Staiv près d’Albi, pour la Movement Week, quand nous avons été aidés par des fermiers qui ont pris du temps pour nous sortir d’une situation compliquée. Le lien social, la générosité, tout était là !
Alors pourquoi pense-t-on que le confort, c’est la ville ?
Nous discutons longuement de ce sujet avec Nicolas Mercadier, sur la vie à la campagne, la connexion à la nature et aux animaux, et le changement de paradigme que cela implique par rapport à la vie en ville.
Le tissu social reste en région. Il est différent de la ville car l’échelle n’est pas la même. Et l’être humain en a besoin : c’est d’ailleurs ce qui a séduit Fabien dans la sédentarité. “Plus c’est dur, plus on va aller vers ça”
La vie nomade ne donne pas le temps de créer un réseau ou de suffisamment connaître des gens. Je parle des espaces de coworking où tout le monde se rassemble sans pourtant se parler. Les gens s’y accumulent mais ne connectent pas.
Mais c’est aussi ça, la mentalité dans le voyage : on pense à soi d’abord, on change rarement son emploi du temps pour quelqu’un d’autre. Et en même temps, au fond, on cherche à s’intégrer à une communauté expatriée !
David Nicolas nous parlait de sentiment d’appartenance. Nous avons besoin de nous sentir appartenir à un groupe : revenir à des valeurs de clans semble alors primordial !
Nous faisons le parallèle avec les nomades des temps anciens qui n’allaient pas aussi loin : ils restaient des nomades locaux, allant de localité en localité, de région en région.
Mais le tissu humain n’est pas câblé sur le temps des réseaux : il faut laisser les choses se faire. Quand on est dans le digital, tout va vite. Or, la liaison humaine n’est pas de cette nature-là. Il faut partager de bons moments, mais surtout des galères pour créer du lien !
La vie lui a donné l’opportunité d’ouvrir son activité à plus de présentiel. La partie digitale a donc diminué. Mais, pour Fabien, il faut garder les deux. Il a d’ailleurs le projet de faire des petites formations digitales et doit désormais trouver le temps et s’organiser pour tout construire.
Et la place de l’écriture dans tout ça ? Fabien déplore d’avoir moins de temps pour écrire, même s’il doit accepter que dans ses journées, certaines choses passent à côté des priorités. Mais ce qui l’embête, c’est la mise en page et la stratégie SEO. S’il ne pouvait que transmettre du contenu de qualité, ce serait plus simple.
Je lui parle de Substack, une plateforme tout en un, à la mise en page unique sur tout le site, où on a juste à écrire et c’est tout. Parfois, nos blocages sont de simples problématiques de plateforme et d’environnement qu’il faut alors changer pour se faciliter les choses.
Le métier d’entrepreneur est multidimensionnel : si nous aimons écrire, nous devons aussi jouer le jeu des algorithmes de Google et tout le monde n’aime pas ça. C’est pour cela qu’il ne faut pas comparer sa productivité à celles de personnes pour qui c’est le seul métier et qui n’ont que ça à faire ! Ces choses-là prennent du temps.
Pour aller plus loin sur cette thématique, Mike Wrobel nous partage la manière de concilier son travail d’artiste avec l’entreprenariat en ligne sur les réseaux.
Il songe au format long, sous forme de podcast ou de vidéo. Que ce soit dans la lignée de son écriture, dans des sujets autour du mouvement, de l’alimentation et de la conscience.
Pour lui, l’écriture permet la digestion la plus fine car elle permet de ciseler le propos. Mais peu de jeunes s’intéressent à ce format aujourd’hui. D’où sa vision de s’atteler à un autre format pour capter leur attention, même si cela va demander beaucoup plus de travail !
Nous enchaînons sur la valeur du travail, dont un athlète prend conscience mieux que quiconque : quelqu’un qui a pris le temps de prendre soin de son corps sait que le travail est transcendantal, la valeur de s’investir et d’obtenir le résultat de notre implication.
“Demain tu m’enlèves tout, je me remets à la tâche de la même manière, même si je dois poser une brique sur un mur à 4h du matin”
L’idée est d’avoir une application et une implication totale, de déverser ce qu’on est dans ce que l’on fait !
Ses élèves choisissent leur propre chemin mais cela ne l’empêche pas de leur donner son avis. Il souhaite transmettre la technique, mais aussi l’état d’esprit. Quand on fait du mouvement, on explique pourquoi on fait ça !
Le Muay Thaï est une passion pour lui, mais c’est surtout un outil. Les arts martiaux permettent d’être ancré, de ‘laisser son égo avec les chaussures’, d’amener la conscience quelque part. Et il voit le résultat quand il observe ses élèves se transformer vers le mieux, qu’ils se mettent en mouvement ou même à lire !
Pour Fabien, quand on veut donner un enseignement digne de ce nom, il faut tout transmettre. Le Muay Thaï, ce n’est pas que de la bagarre : c’est un art avec de véritables valeurs. Sans cela, c’est une pratique qui peut devenir dangereuse !
C’est avec Micka Illouz que nous parlions de la responsabilité d’un professeur d’enseigner avec le plus de complétude son art, tant dans ses valeurs que dans ses implications et ses conséquences, bref, de véritables philosophies de vie !
C’est une problématique du MMA qui manque de ces valeurs. Puisque c’est une pratique plus jeune que les autres arts martiaux et qu’elle cherche plutôt à redonner la souveraineté aux jeunes hommes, se dirige-t-on avec cela vers des sports de combat dénués de spiritualité et de concept d’ascension de l’âme ?
Avec certaines structures comme le One FC, certaines valeurs sont transmises et il y a une attention portée aux athlètes qui donne à croire qu’un espoir est possible.
Même si Fabien “a le Muay en lui”, il n’est pas thaï. Pour lui, on a forcément un biais, mais on doit faire du mieux qu’on peut.
Le mouvement est universel, il est humain avant d’être culturel.
Mais que dire face aux discours d’appropriation culturelle ? Nous parlons de la capoeira qui se fait traditionnellement en musique, d’une certaine façon… mais transposée dans d’autres pays sans ces éléments qui font sa singularité et son authenticité.
Pour Fabien, les pratiques n’appartiennent à personne.
Mais il est important de:
“Changer ce qu’il faut, garder ce qui vaut”
Pour garder ce qui vaut, il faut voir des bases solides apprises dans les règles de l’art, et à partir de là faire son chemin.
Sans compétition, il n’y pas de critères universels de ce qui marche dans la Movement Culture. Tout le monde peut donc dire ce qu’il veut selon sa propre compréhension. Cela entraîne des dérives : les techniques fusionnent, certaines règles sont imposées par certaines personnes alors qu’elles n’étaient pas là originellement…
Pourtant, la compétition n’est pas applicable partout. Ce n’est pas une fin en soi : après tout, qu’est-ce que ça veut dire dans l’art ?
Quand on lit Ido Portal, il faut développer la question : qui sert-on ?
Les autres ou nous-mêmes (notre égo) ?
Nous faisons justement une critique du monde du mouvement par cette tendance à s’approprier des concepts et imposer des règles avec Raphaël Berkane suite à notre semaine en Thaïlande au Movement Camp de Roye Gold : Est-ce que la personne bouge comme son soi le lui commande ou est-ce qu’elle le fait parce qu’on lui dit que c’est comme ça qu’il faut faire ?
La méditation et la lecture sont deux grandes sources d’inspiration.
Il lit beaucoup sur physique quantique, le stoïcisme et le calme intérieur
Il nous conseille la lecture de Sagesse de Michel Onfray, qui traite de la vision pragmatique des romains et des grecs et donne un autre prisme de leur vision du monde.
Nous parlons de stoïcisme, qu’il faut non seulement lire mais surtout incarner. Mais ce n’est pas si simple : beaucoup déifie Sénèque, mais il n’a pas toujours vécu comme il a écrit. Il est donc important d’être indulgent entre soi-même !
Le livre Lives of the Stoics de Ryan Holidays montre justement ce que chacune des personnalités du stoïcisme a infusé dans le mouvement, tout en ayant des vies très différentes les unes des autres.
Pierre Dufraisse nous fait également une éloge du stoïcisme et nous explique pourquoi c’est une philosophie encore applicable à nos vies actuelles.
Fabien fait le parallèle entre la physique quantique et le stoïcisme. Les stoïciens s’interrogent sur l’ordre des choses et en concluent que beaucoup de choses sont hors de leur contrôle et qu’ils ne doivent pas s’en soucier.
Le livre Le grand virage de l’humanité de Philippe Guillemant, chercheur au CNRS, expose la théorie d’une sorte de “multiverse” : notre futur prendrait la forme d’une multitude de futurs déjà réalisés et, par le biais de nos actions, on va pouvoir les influencer. Autrement dit, en agissant sur ce sur quoi nous avons le contrôle, on va pouvoir aller d’un chemin à un autre.
Guillemant explique ce qu’est la conscience et nous parle du COVID qui, à ses yeux, a permis à l’humanité de prendre un virage vers le local et la collectivité plutôt que tiktok et le transhumanisme.
“Ce sont nos pensées, portées par les vibrations de nos émotions, qui font notre futur”.
Fabien invite à lire son livre et à regarder ses conférences pour en savoir plus !
Il pense à un futur positif surtout par volonté et espoir: il ne veut pas que l’humanité aille dans la mauvaise direction.
Mais au-delà de la volonté, il faut aussi l’exprimer et agir : que fait-on pour empêcher ça ?
Staiv a le même avis : il est de notre responsabilité d’agir, de proposer la bonne voie et la bonne vibration pour guider le bateau vers l’élévation.
Nous poursuivons sur le sujet de la vibration : quand on prend conscience de l’importance du choix de ses pensées et de ses actions, un changement est possible. On peut contrer les charges vibratoires négatives en conservant notre énergie positive pour rééquilibrer les polarités.
La qualité de nos pensées, de nos actions, de nos échanges, c’est peut-être la clé du rôle qu’on a à jouer dans le monde.
Fabien pense que oui. D’ailleurs, le triptyque de son travail concerne ces trois éléments : Mouvement, Alimentation et Conscience.
Se poser la question sur cette conscience, sur ce “Tout est Un” dont nous parle Eckhart Tolle dans le Pouvoir du Moment Présent est un jeu philosophique intéressant.
Je partage une vision du monde dont j’avais déjà brièvement parlé dans l’une de mes 30 leçons de vie : il y a une musique qui régit le monde et nous faisons tous et toutes partie de cette symphonie. J’aime cette vision car elle permet de me dire que j’ai moyen de connecter avec toutes les personnes autour de moi et que “partout c’est chez moi”.
Mais être liés n’empêche pas d’avoir du libre-arbitre, de pouvoir être en mesure de faire des choix, d’oser vibrer plus fort et de s’exprimer soi.
La pratique de Fabien a connu ses hauts et ses bas, mais elle est ancrée dans son quotidien désormais.
Il n’est pas procédurier dans son approche, parfois ça part loin dans le cosmos, parfois il se recentre. Ce qui lui importe est de la faire le matin et de laisser exprimer les choses telles qu’elles viennent. Et quand il n’est pas assis, il peut la retrouver ailleurs : dans l’art, dans ses activités, la marche…
Sa pratique assise lui sert à s’entraîner pour la retrouver partout par la suite.
Ça résonne avec ce que nous partageait Alain Couturier qui nous invite à nous interroger sur le pourquoi de nos pratiques : pourquoi vouloir méditer si on n’est pas capable d’être en conscience en compagnie de quelqu’un d’autre ?
Quant à Brian Magnus, il voit la méditation comme une pratique faisant partie d’un ensemble global et qui va au-delà d’une technique de relaxation. D’autant que la méditation peut prendre plusieurs formes !
En règle générale, Instagram lui sert pour s’inspirer sur les sujets du Muay Thaï, du flow et du mouvement.
J’explique avoir terminé mon régime carnivore strict dès la fin de l’été 2021 pour me diriger vers une diète animal based (80-95% de produits animaliers), composée principalement de viande, d’oeuf, de fromage et de fruits.
J’ai aussi arrêté l’OMAD (One Meal A Day) et le jeûne intermittent très strict. Je ne regarde plus l’heure !
Ma pratique aussi a changé. Je ne fais plus autant d’arts martiaux et me suis tourné vers une pratique fonctionnelle, avec des exercices de poids du corps, des tractions/abdos, du mouvement… Les rares fois où je me retrouve à la salle, et parce que c’est exceptionnel, je m’y mets à fond, je pars dans le cosmos avec des séances intensives de crossfit ou avec des grosses barres.
L’alimentation a forcément un lien avec son environnement et sa pratique : j’étais un carnivore strict quand ma pratique était axée sur la force. Maintenant que ce n’est plus le cas, je peux changer.
Mais j’ai envie d’explorer davantage. Si je me réserve les sports d’endurance plus tard, une dernière expérience que j’aimerais faire est de me lancer dans les sports de combat (Boxe, Muay…) en étant cétoadapté, pour voir jusqu’où peut pousser la machine. Johanne Cammarata nous parle longuement du régime cétogène et des paliers d’adaptation à respecter avant de passer d’un fonctionnement glycogénique à cétogénique.
Je ne le ferai que quand je serai dans un environnement stable. L’environnement est un point fondamental pour se créer de nouvelles routines et s’épargner une charge mentale non nécessaire.
Pour moi, ne pas diversifier mes repas me permet de savoir où mon corps en est et de pouvoir contrôler son évolution.
Mais je ne le sens pas comme une contrainte : je mange naturellement toujours la même chose, les 5 mêmes repas. Mon corps est habitué !
“Je n’ai aucun goût pour l’alimentation !”
La bouffe, pour moi, c’est du fuel pour faire fonctionner mon corps, pas nécessairement un plaisir.
Fabien suit le régime du guerrier, un régime plutôt méditerranéen, sous un jeûne intermittent OMAD. Il mange de tout, tant que c’est de la qualité et que son corps apprécie.
Son type de régime est lié à son entraînement puisqu’il s’entraîne tous les jours ou presque. Car c’est le but d’un régime : il ne doit pas être restrictif mais servir un objectif. Et être jouissif, tant qu’à faire !
Il détermine si ce qu’il mange est bon pour lui selon son niveau d’énergie. Il existe d’autres marqueurs biologiques comme la qualité du sommeil, la libido ou la santé de l’estomac et de ses intestins – il mentionne pour cela Le Charme discret de l’intestin !
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“Cultivez la joie, suivez votre intuition, agissez le plus possible avec le cœur. Quand cela est fait, n’ayez peur de rien d’autre.”
~ VLCP Fabien ~
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