MOUVERS #139 – Rencontre du 3ème Type, Cyclisme à haut niveau, et 7M € de CA sans Business Plan. Vivre une vie Riche grâce à l’Intelligence Intuitive avec Rod Reynolds

Nouvelle conversation cosmique de la “Zone Rouge” avec mon frère de lumière Rod Reynolds, cycliste de haut niveau, entrepreneur à succès, explorateur du vivant, de la performance, de la longévité, éternel curieux, et l’une des personnes qui m’a énormément inspiré, au moment où je l’ai rencontré lorsque j’avais à peine 26 ans.

Je suis honoré de vous présenter un de ces mouver d’exception avec lequel on décolle dans le cosmos, en en partant de sa vie d’athlète à haut niveau, son amour pour les courses de vélo, les différents outils de la performance athlétique, puis son aventure entrepreneuriale basée sur l’intuition, complètement à l’opposé de la pensée courante, puis l’exploration des états modifié de conscience, de sa découverte de l’UFO-logie, et de notre intérêt commun pour les mystères de notre univers.

Publié le 26 Octobre 2023

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Chapitres

00:00 Introduction
06:13 Sponsors
07:38 Prise de contact entre Slim et Rod Reynolds
10:06 Comment se passent les courses de cyclisme ?
13:30 Comment le sport constitue un élément structurant dans son quotidien ?
20:04 Quelles sont les autres disciplines du cyclisme ? Le cas du Gravel
22:28 Comment Slim imagine-t-il une évolution des sports pour matcher avec une évolution de la conscience ?
25:20 Comment Rod a-t-il agencé sa pratique sportive avec la dimension sociale de l’existence (relations, etc) ?
28:47 Est-ce qu’il regrette avoir passé ses jeunes années à faire la fête, sans discipline draconienne ?
34:13 Culture de l’intuition et entreprenariat : comment se lancer sans peur ?
44:13 Burn out : quels effets ont eu cette aventure sur la santé ?
51:04 Quels sont les outils qui permettent d’être plus performant en cyclisme ?
59:08 Quel est l’avis de Rod sur la psilocybine ?
01:14:36 Planisphère et complots : Pourquoi est-il important de remettre ce qu’on nous dit en question et de toujours faire un travail de vérification ?
01:22:02 Pourquoi voyager en Chine permet de remettre en question sa perspective du monde ?
01:29:04 Comment Rod a-t-il vécu la transition d’un business à un autre qui lui donne plus de temps pour lui ?
01:39:18 D’où vient la source du bonheur ?
01:43:18 Y a-t-il quelque chose qui nous dépasse dans notre propre vie ? Choisissons-nous ce qui nous arrive ?
01:46:34 Y a-t-il la place à d’autres entités et d’autres existences dans l’univers ?
01:57:14 Comment un documentaire-témoignage de l’INA a poussé Rod à croire à la possibilité que d’autres formes de vie pouvaient exister ?
02:04:17 Peut-on envisager un futur avec une arrivée d’extraterrestres ?
02:15:37 Fin de l’échange
02:18:00 Conclusion et ressources

L'invité : Rod Reynolds

MOUVERS Podcast #139 avec Rod Reynolds Portrait | MOUVERS

En cours de rédaction…

Notes, Liens, et Resources dans cet épisode

Comment se passent les courses de cyclisme ?

Il y a un format classique dans les courses : une ligne de départ, une ligne d’arrivée. La course se fait généralement sur des circuits entre 2km et 15-20km à parcourir plusieurs fois, pour atteindre les 80km au niveau de Rod. Il y a entre 50 et 100 participants, ce qu’on appelle un peloton.

Bref, comme le tour de France, mais en beaucoup moins vite, avec beaucoup moins de monde. L’enjeu est moindre également : ce sont des petites courses pour le plaisir, même si elles restent affiliées à la fédération et qu’il y a des prix et des classements.

Quand je me demande s’il répète le circuit en amont pour le connaître par cœur, Rod me dit que ce n’est pas nécessaire, du moins pas pour lui : à force de s’entraîner, il connaît les circuits, notamment en Ile-de-France. Il peut faire une reconnaissance du parcours, mais pas plus.

Ce qui est beau avec le cyclisme, c’est qu’il y a tellement de formes qu’on peut continuer à le pratiquer très longtemps car il n’est pas traumatisant. C’est aussi un sport passion

“Il y a des centenaires qui font du vélo. Ils ne font peut-être pas de courses, mais ils peuvent encore faire du vélo.”

Comment le sport constitue un élément structurant dans son quotidien ?

Dans un quotidien avec le boulot, la vie de famille ou de couple, le sport aide à se structurer, à rythmer sa semaine, à évacuer certaines choses et à apporter un certain équilibre. C’est aussi vrai en termes de fatigue physique : le sport permet de mieux gérer sa réponse énergétique.

Rod a très tôt structuré sa vie en trois parties : le côté étude/business, l’amour (famille, couple) et le sport. Dans les débuts de sa vingtaine, il notait même son niveau de satisfaction dans chacune de ces parties pour observer son niveau de bonheur et savoir où bouger le curseur pour changer les choses quand elles n’étaient pas satisfaisantes !

Pour Rod, le cyclisme, c’est aussi comme de la méditation. S’entraîner lui permet d’avoir son esprit focalisé sur autre chose que ses problèmes pour faire a posteriori de meilleurs choix.

Et où se place la compétition dans tout ça à ce niveau-là de sa carrière ? N’est-ce pas antinomique avec l’approche méditative ?

Pour Rod, il s’agit surtout de savoir où se trouve son objectif. La compétition n’est pas la recherche de la performance permanente. Elle peut devenir une simple recherche de satisfaction : être dans les 5 premiers, dans les 10 premiers, dans les 20 premiers…

Il se satisfait du niveau qu’il possède aujourd’hui – du niveau qu’il peut avoir selon son âge et ses occupations extérieures qui, elles aussi, lui apportent de la satisfaction !

Quelles sont les autres disciplines du cyclisme ? Le cas du gravel

Il n’y a pas que le cyclisme sur route que tout le monde connaît grâce au Tour de France ou à Paris-Roubaix.

Aujourd’hui, il y a des disciplines digitales, comme le spinning ou le gravel. Le gravel, pour Rod, va être la discipline du futur.

C’est du “vélo aventure” : ce sont des routes plus longues, mais où la rapidité et la vitesse

ne sont plus du tout l’objectif. Le but, c’est de rallier un point A à un point B en passant souvent dans des zones magnifiques, des montagnes, des forêts, des steppes…

Pour pousser plus loin, il existe les Transcontinental Race, où on peut aller jusqu’en Estonie ou jusqu’au Kazakhstan. Ce sont des courses de plusieurs jours, où chacun se débrouille soi-même pour manger et dormir, et il y a quand même un gagnant à l’arrivée !

Dans son cas, Rod a déjà fait des courses de gravel de 80 et 100km, qui durent 4, 5 heures car elles se passent sur des terrains type VTT et que la vitesse est plus lente. Il se verrait explorer cette facette, car le plaisir est autre et l’entraînement différent.

Comment Slim imagine-t-il une évolution des sports pour matcher avec une évolution de la conscience ?

Est-ce qu’il pourrait exister des sports de contact dans lesquels on réduirait le risque de commotion serrée ? Certaines choses existent dans le monde des arts martiaux, comme le point fighting : il suffit de toucher certaines zones pour gagner des points.

Mais j’aimerais trouver un sport qui n’a plus cet aspect de commotion, où il n’y ait plus besoin d’aller jusqu’au K-O, mais qui garde quand même cette idée d’aller au combat.

J’ai l’impression que beaucoup de sports de contact aujourd’hui sont des sports de jeunes, à cause des chocs pour l’organisme. Mais y aurait-il moyen de les transformer pour inclure des pratiquants plus âgés ?

Comment Rod a-t-il agencé sa pratique sportive avec la dimension sociale de l’existence (relations, etc) ?

Pendant très longtemps, c’était lié à une discipline et une gestion draconienne de son agenda. Mais au fur et à mesure, il a réussi à structurer sa vie professionnelle pour laisser de la place aux autres pôles (amour et sport). Il se donne aussi des objectifs réalistes : “Je ne veux plus avoir le niveau que j’avais il y a 20 ans sinon je n’ai plus de vie”

Celui lui a permis de se poser les bonnes questions : est-il aussi heureux en faisant un sport à un niveau bien moindre, mais en le continuant plutôt que de l’arrêter totalement ? Ou doit-il absolument faire de la compétition de très haut niveau pour être satisfait ?

A ses yeux, quitter la compétition lui permet de se réinventer, d’aller explorer d’autres aspects du vélo.

C’était un long processus : quand il a monté sa première boîte, il ne pensait pas avoir la possibilité de faire à la fois du vélo et du sport et a mis de côté le vélo. Mais en s’organisant, il est possible de trouver ce temps.

“C’est une question d’organisation et de priorité. Si le sport pour toi, c’est une de tes priorités, et que ça doit rentrer dans ton calendrier, tu trouveras une solution.”

Est-ce qu’il regrette avoir passé ses jeunes années à faire la fête, sans discipline draconienne ?

“Je ne regrette aucune de ces périodes parce qu’à chaque fois j’étais plutôt très satisfait. Et c’est ce que je me suis rattrapé à posteriori !”

Entre ses 18 ans et ses 23 ans, Rod faisait à la fois un sport de compétition et des études de droit. Il n’avait pas la place pour autre chose.

Mais quand il a arrêté le vélo et a commencé à travailler, il s’est construit une vie sociale démesurée. “J’ai rattrapé toute la vie sociale que les gens ont pendant leurs études et que je n’ai pas eue.”

Rod nous explique ce virage comme quelque chose qui s’est fait naturellement, un besoin d’expérimenter, d’aller à la découverte de nouveaux endroits, de nouvelles expériences (soirées privées, etc), ce qui l’a d’ailleurs mené à son premier business dans l’événementiel !

Culture de l’intuition et entreprenariat : comment se lancer sans peur ?

Rod nous explique qu’il n’a pas tout quitté pour se lancer à son compte. Il avait une activité principale qu’il a fini par quitter une fois son “hobby” devenu suffisamment tangible pour faire la transition.

Pour lui, la meilleure façon de ne pas avoir peur, c’est de ne pas regarder ce que font les autres. Il faut y aller, simplement et avec le cœur, et ne pas se poser des questions avant de se lancer !

Trop analyser les choses finit par nous bloquer.

“Il faut se lancer et on verra ce qui se passe”.

Et c’est ensuite qu’on s’adapte, petit à petit, au fur et à mesure de nos erreurs et expériences.

Récemment, Jack nous parlait justement de l’importance de simplement se lancer, car le monde a besoin de gens qui créent pour fonder des communautés d’entraide et élever les autres sur des sujets importants !

Réseaux sociaux et entreprenariat

A l’époque de la création de sa première entreprise, en 2004, Facebook, Instagram n’existaient pas. Mais il y avait bel et bien une notion de communauté, qu’on construisait progressivement au fil des rencontres.

L’arrivée des réseaux sociaux n’a pas changé grand-chose pour Rod hormis le fait de pouvoir avoir une vitrine de son business sur internet.

S’il devait créer sa boîte aujourd’hui, il utiliserait les réseaux sociaux mais s’orienterait vers un secteur de niche. Il préfèrerait axer vers quelque chose de sélectif plutôt que de masse.

Et surtout, faire les choses en accord avec ses valeurs !

Aujourd’hui, les réseaux sociaux font partie intégrante des entreprises : on raconte avec Florian Marrec le monde de Youtube mais aussi ses côtés sombres.

Mais ils ne font pas tout : je partage ma propre expérience après avoir quitté Instagram malgré le succès de mon compte.

Burn out : quels effets ont eu cette aventure sur la santé ?

L’entrepreneuriat n’a pas que des effets positifs. Le stress a été une grande problématique pour Rod, qui lui a provoqué de l’arthrose et une vie personnelle chaotique.

Il a donc appris à s’adapter, être à l’écoute de son corps et mettre en place les mesures nécessaires pour changer. A travers la respiration, la méditation, le sport et le renforcement musculaire pour s’équilibrer, mais aussi le MBST (un traitement par les ondes) etc…

David Tan nous parle plus en détail de la façon dont on peut apprendre à mieux écouter les signaux que nous envoient notre corps, notamment en cas de burnout, et comment les comprendre !

Quels sont les outils qui permettent d’être plus performant en cyclisme ?

La base reste le sommeil, l’alimentation, l’entraînement, mais aussi le matériel du vélo.

Une des récentes découvertes est le facteur de la chaleur corporelle. Plus le corps chauffe, plus il devient un facteur limitant. Aujourd’hui, il existe des capteurs pour mesurer la température à l’instant T. Si elle est trop haute, on donne des poches de froid au milieu de la course pour faire refroidir le corps.

Rod nous parle aussi de méditation qui l’aide à prendre des décisions rapidement, et de breathwork, notamment par des techniques d’apnéistes. C’est Julien Touzalin qui nous explique pourquoi la respiration est un élément essentiel de l’entraînement et qui nous parle en détail des différentes techniques d’apnéiste développées par Laird Hamilton.

Quel est l’avis de Rod sur la psilocybine ?

C’est un sujet dont nous avons longuement parlé avec Dylan Rousselet et, pour Rod, il s’agit du médicament du futur. Il a découvert le concept grâce aux traitements de l’Hopkins Hospital à Baltimore et notamment des travaux du professeur Roland Griffiths, qui a fait TEDX sur la psilocybine et ses effets.

Rod l’a expérimentée en microdosing via le protocole de Hopkins, ce qui lui a permis de se sentir plus connectée à la vie autour de lui. Cela a eu deux effets particuliers : améliorer ses relations aux autres… et l’aider à dépasser sa phobie des araignées !

Des années après, il a aussi expérimenté une dose unique de 2,5 g, dans un environnement sécurisé, accompagné par une personne de confiance et en musique (des playlists établies par l’Hopkins Hospital sont disponibles sur Youtube ou Spotify). Il nous raconte son expérience, les intentions posées avant de commencer et les réponses qu’il a reçues.

A-t-il eu la visite d’une entité ? Non, nous dit-il, mais les expériences sous psilocybine sont moins puissantes.

Dans la famille des alcaloïdes, les champignons sont les moins puissants, viennent ensuite les cactus et enfin la “madre”, l’ayahuasca, qui est beaucoup plus forte et où on vit des choses beaucoup plus puissantes.

Ces autres perceptions qu’on a sous ses substances peuvent venir conforter les théories de la physique quantique qui expliquent que le monde que l’on perçoit n’est pas le monde réel physique. Les principes se rejoignent !

Je mentionne le podcast de Michio Kaku sur la théorie des cordes et du concept de force interconnectée.

Planisphère et complots : Pourquoi est-il important de remettre ce qu’on nous dit en question et de toujours faire un travail de vérification ?

La physique quantique, la science de présenter le monde différemment, était présente dans les programmes scolaires dans les années 80, mais ça a été supprimé petit à petit.

Pourtant, il est indispensable de se remettre en question, même sur les sujets les plus basiques comme le planisphère.

La carte du monde que nous connaissons tous, la projection de Mercator, est une version erronée car les proportions des pays sont fausses. Sur cette carte-ci, on peut voir les proportions réelles des pays.

Qu’en dire ? Même un planisphère permet d’imposer sa vision du monde. Ici, l’Europe donne l’illusion d’être un continent plus grand qu’il ne l’est en réalité. Bref, c’est une sorte de propagande !

Pour aller plus loin sur le sujet, je t’invite à lire l’excellent Psychologie des foules de Gustave Le Bon.

Il est important de se poser des questions. Nous vivons dans une ère où il y a une vérité et où on n’accepte pas les autres.

“Je doute même du doute” disait Anatole France. Aujourd’hui, on ne devrait douter de rien. Mais quand même notre propre planisphère est faussé, cela nous prouve qu’il faut aller vérifier les informations qu’on nous donne.

Mais comment ne pas tomber dans l’extrême opposé, douter de tout, tomber dans le complotisme ?

Il faut se baser sur son bon sens et aller creuser les sujets. Parfois de simples vérifications suffisent à donner une réponse claire.

Pourquoi voyager en Chine permet de remettre en question sa perspective du monde ?

On entend parler de beaucoup de choses sur la Chine. Mais un pays qui devient en 50 ans la 2e puissance mondiale, ça inquiète naturellement certains pays, comme les Etats-Unis qui peuvent ainsi agir sur l’information.

C’est pourquoi Rod a décidé d’aller voir par lui-même et de vivre dans ce pays pour voir ce qu’il en est réellement.

Il a découvert que les médias occidentaux passent beaucoup de temps à parler de ce qui se passe ailleurs, sans régler leurs propres problèmes. En Chine, ils ne critiquent pas ce qui concerne d’autres pays, ils se concentrent sur eux-mêmes.

Il nous raconte aussi d’autres idées reçues qu’il a découvertes comme étant fausses et ne peut qu’insister sur l’importance d’aller toujours vérifier la vérité, ou au moins de se poser la question.

D’où vient la source du bonheur ?

Certains croient que c’est l’argent, la richesse, mais, pour Rod, c’est la liberté qui l’est. Ou plutôt, c’est la capacité de faire et d’agir avec cette richesse. La liberté est plus importante quand on a plus de moyens, mais le temps est la clé !

C’est pour cela que Rod invite à changer les choses quand on se sent noyé dans sa vie, même si on a souvent peur de se retrouver dans des situations pires que celle dans laquelle on est.

“Si t’as peur et que tu ne fais pas, c’est que t’as pas envie de faire le truc. Si t’as envie de faire, tu fais.”

On n’a pas grand chose à perdre. En vérité, on a plus de chance de ne pas gagner en ne faisant pas qu’en faisant.

Ce conseil, tous les mouvers le partagent. De Clément Lamirel qui appuie sur l’importance de gérer ses émotions pour qu’elles ne prennent pas le dessus dans notre capacité de prise de décision, à Micka Illouz et le concept de la Praxis, cette idée de se focaliser sur l’action, sans se poser de questions, sans avoir d’attentes.

Y a-t-il quelque chose qui nous dépasse dans notre propre vie ? Choisissons-nous ce qui nous arrive ?

Nous parlons du concept de déterminisme, de ce sentiment que quelque chose nous dépasse et que, finalement, on ne choisit peut-être pas forcément ce qui nous arrive.

Pour Rod, découvrir que l’univers est démesuré et infini, c’est aussi accepter qu’il y a des choses qui nous dépassent. On ne peut pas appréhender réellement l’univers dans lequel on vit : nous naissons et finissons par mourir rapidement, alors que l’univers, lui, est en développement permanent.

Y a-t-il la place à d’autres entités et d’autres existences dans l’univers ?

Rod nous fait utiliser deux choses essentielles : notre bon sens et notre ignorance de l’univers.

On vit dans un univers qu’on ne peut pas mesurer et qu’on ne connaît pas, ni dans son espace (nous connaissons bien le système solaire, mais au-delà ?) ni dans sa temporalité (on comprend à peine sa création !). Aussi, la plupart des étoiles dans le ciel sont des soleils qui sont, peut-être, générateurs de vie comme l’est le nôtre.

Ces deux points combinés font qu’il y a bien plus de chances qu’il existe de la vie ailleurs qu’il n’y en ait pas.

Nous avions déjà abordé le sujet avec mon ami Staiv, ce qui nous avait amené à nous questionner sur la forme de ces entités, sur ce que ça impliquait si la réincarnation existait

Je ne peux m’empêcher de mentionner Graham Hancock qui, à travers ses livres et ses recherches, fait le lien entre spiritualité et avancée technologique des , et nous parle mythes fondateurs à travers le monde qui évoquent toujours des porteurs de civilisation. Les êtres humains reçoivent toujours quelque chose pour construire leur civilisation. De ce point de vue, ça pourrait être logique qu’il y existe d’autres entités qu’on ne pourrait pas voir de nos yeux.

A moins que ce ne soit expliqué par l’existence d’une histoire commune à tous les êtres humains ? Avec Will Janssens nous explorons en détail la double lecture de l’Histoire avec un grand H, de l’importance de lâcher nos préjugés et d’aller explorer par nous-mêmes, au-delà des consensus scientifiques, l’étude des anciennes civilisations pour établir nos propres conclusions.

Comment un documentaire-témoignage de l’INA a poussé Rod à croire à la possibilité que d’autres formes de vie pouvaient exister ?

Rod évoque un événement des années 60 qu’il a découvert dans un documentaire : la rencontre de Valensolles, quand Maurice Masse, un cultivateur de lavande, a déclaré avoir découvert deux êtres humanoïdes dans son jardin.

Passé la surprise, Rod nous explique avoir voulu faire fonctionner son bon sens : non seulement c’est un documentaire de l’INA, et non un documentaire falsifié, mais en plus : quel est l’intérêt d’un cultivateur local d’inventer des histoires fausses ?

En se renseignant, il découvre le Geipan, une branche du CNES, spécialisé dans les recherches sur les ovnis et qui recense tous les cas d’ovni connus. La plupart trouve des explications rationnelles, certaines non.

Y a-t-il des formes de vie qui sont déjà entrées en contact avec nous ?

Le chirurgien Roger Leir a enquêté sur des cas de figures pareils, notamment au Brésil alors que de nombreuses personnes auraient été témoins de l’apparition d’êtres différents. Le documentaire Moment of Contact de James Fox retrace les événements.

Ces évènements, qu’ils soient vrais ou faux, donnent au moins une autre perspective des choses et font envisager d’autres possibles !

Peut-on envisager un futur avec une arrivée d’extraterrestres ?

Si cela arrivait, qu’est-ce que cela engendrerait ?

Rod doute que cela provoque des changements d’habitudes de vie, mais en tout cas, cela ouvrirait d’autres perspectives et une nouvelle réalité des choses.

Et s’il y avait une menace de cataclysme ou de destruction ?

Rod n’est pas effrayé, seulement curieux.

S’il est vrai qu’il y a dans l’univers des extraterrestres capables de voyager et de nous détruire, selon lui, ils l’auraient déjà fait.

Ses expériences avec la psilocybine lui ont aussi montré une autre perspective, un sentiment de faire partie d’un tout harmonieux qui fonctionne de manière positive, une sorte d’amour universel. Où est la place de la destruction là-dedans ?

Dans le premier documentaire de James Fox, The Phenomenon, un passage m’avait profondément marqué, quand des entités mettent en garde les hommes contre l’utilisation du nucléaire et des armes.

Il faut se rappeler que nous faisons partie d’un groupe. Or, les humains s’emballent dans une direction pas des plus judicieuses pour vivre en commun !

 

Ces discussions nous montrent qu’un être humain est fait pour douter, faire des conjectures, des hypothèses, lancer des pistes.

Nous nous opposons aux schémas manichéens que l’on nous propose aujourd’hui, et d’avoir une vérité à choisir.

Allons explorer l’inexploré et échanger sur nos découvertes et autres idées !

Void

La Routine Matinale Parfaite de Rod Reynolds

Void

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