MOUVERS #141 – Respiration Anti-Inflammatoire, Voyages de la Conscience, et Six Dharmas of Naropa. Guérir nos Corps par la Respiration avec Leonardo Pelagotti (INSPIRE Potential)

Respirer par le nez pendant un marathon permet-il de mieux récupérer physiquement ?

Leonardo s’était lancé le défi de terminer un marathon sans grande préparation préalable, en se forçant à respirer par le nez tout du long, pour en vérifier les effets sur le processus de récupération physique.

Une expérimentation que Julien Touzalin ne peut que saluer, lui qui nous explique dans un épisode du podcast l’importance de la respiration dans l’entraînement et la course à pied, mais aussi les raisons structurelles pour lesquelles respirer par la bouche n’est pas optimal pour le corps !

Pour être certain de toujours respirer par le nez, Leonardo s’est scotché la bouche et a couru à allure modérée. L’idée était de bien oxygéner ses muscles en utilisant à 100% la filière aérobique. Son approche lui a valu de très peu boire et manger, mais à la fin de son parcours, ses muscles ne lui faisaient pas si mal que ça.

C’est au niveau structurel qu’il a connu des douleurs : genoux, métatarses, tarses, dos du pied…

Leonardo nous raconte son protocole de récupération :

• Alternance de douche froide et chaude
• Massage des jambes avec ses mains
• Respiration anti inflammatoire d’1 heure
• Sieste d’1 heure avec les jambes surélevées.
• Alimentation
• Balade dehors.

En le faisant deux jours d’affilée, il s’est rendu compte que ses muscles avaient complètement récupéré. Pour les autres tissus (tendons, fascias…), le processus de récupération prend plus de temps.

Mais Leonardo n’est pas un coureur à la base. Avec seulement 5 mois de préparation, il a payé cher de ne pas préparer son corps au niveau structurel. Son approche a été plutôt intuitive, à l’écoute de son corps.

Désormais, il a envie de refaire un marathon en s’entraînant réellement et en expérimentant à nouveau la respiration exclusive par le nez, afin de prouver que c’est la bonne approche.

Si le domaine de la course à pied t’intéresse, je partage dans cet article les clés d’un échauffement optimal avant d’aller courir !

Qu’espère Leonardo des résultats de ses expérimentations ?

D’abord, il espère faire passer un message autour de la respiration.

Ensuite, il désire créer des protocoles de préparation moins traumatisants pour le corps et moins onéreux en termes de temps.

La respiration est négligée dans le monde de la pratique physique et il a envie de la remettre au centre des entraînements !

Enfin, cette expérimentation lui permet de se challenger et lui apprend des choses sur la structure du corps : jusqu’où peut-il pousser son corps ?

Qu’est-ce qui se cache derrière “respiration anti-inflammatoire” ?

L’inflammation est un outil du corps très utile, mais Leonardo distingue l’inflammation chronique et l’inflammation aiguë.

• L’inflammation chronique est issue d’un dérèglement, c’est une inflammation qui perdure, et ce n’est pas normal. Leonardo conseille de pratiquer une respiration continue dans ces cas-là.
• L’inflammation aiguë est un pic de douleur ou une inflammation excessive, comme lors d’une crise d’allergie. On peut baisser l’inflammation avec des techniques de respiration qui vont activer l’adrénaline par le biais du système nerveux autonome sympathique et produire du cortisol et des effets anti-inflammatoire immédiats.

Dans son cas, son protocole de respiration est un processus d’une heure qui a un effet non seulement anti inflammatoire mais qui permet aussi de recycler les métabolites dans les muscles.

C’est une technique avancée qui demande une intention mentale sur le corps et d’être pleinement concentré. En bref, de la psychosomatisation positive !

Peut-on appliquer la technique avant une opération chirurgicale ?

La technique peut avoir des effets avant une opération car elle permet de changer les réponses physiologiques du corps par le mental. C’est l’approche Top Down, soit une régulation du système nerveux central sur le corps.

Leonardo nous raconte que l’un de ses élèves a tellement avancé la technique qu’il s’est fait opérer sans anesthésie et a pu faire une récupération sans médication. Mais ce n’est possible qu’en pratiquant plusieurs heures par jour !

Je partage moi aussi avoir visionné des vidéos Youtube sur des opérations à crâne ouvert où le patient, conscient, reste stoïque. Il existe des moyens naturels d’endurer la douleur !

Au-delà de la respiration, les états de consciences modifiées permettent aussi de se dissocier ou de voir le corps et le temps autrement.

Il existe des pratiques de Yogi, comme le retrait des sens. Cela implique de se détacher des 5 sens principaux pour aller vers les sens intérieurs (l’intéroception) et de procéder ainsi à un changement d’état de conscience.

Que Leonardo peut-il nous dire du monde des rêves ? Sortie de corps et rêves lucides

Nous avions déjà parlé des états de conscience modifiée et du monde des rêves avec Charlotte Dupinay ou même de respirations holotropiques avec Thomas Bazin. Leonardo a lui aussi pu explorer ces états par la respiration.

Quand on est conscient, on sent que le corps a des frontières définies. Or, quand cette conscience est modifiée, le corps n’a plus les mêmes frontières, on peut ne plus les ressentir.

Alors, quelle est l’illusion et quelle est la réalité ?

Nous enchaînons sur les sorties du corps pendant le sommeil et de la possibilité de visiter d’autres espaces avec sa conscience. Qu’est-ce qui relève du rêve alors ?

Leonardo nous parle de la chaîne française Gaia Méditation. Son créateur, Romain, organise des formations sur les rêves lucides. Dans un état de repos et de sommeil, il est possible de garder sa conscience. C’est une pratique ancienne, déjà pratiquée par les Tibétains via le yoga du rêve et du sommeil. Ils travaillent sur ça pour maîtriser leur conscience au moment du passage de leur mort.

Pourquoi Leonardo pense-t-il que personne en France ne pratique le yoga Toumo ?

Le yoga Toumo fait partie des 6 yogas de Nāropa qui furent transmis de Naropa à Milarépa, un célèbre yogi tibétain. Plusieurs courants se mélangent dans les traditions tibétaines : chamanisme, magie, animisme et bouddhisme. Il faut donc considérer les yogas comme des pratiques avant tout spirituelles !

Les pratiquer, c’est s’investir sur sa vie. En ce sens, très peu de gens pratiquent actuellement le yoga Toumo.

C’est une pratique ésotérique, réservée à peu, dotée d’une partie spirituelle très forte liée au bouddhisme tibétain. Et c’est surtout seulement l’un des 6 éléments d’une pratique globale !

Wim Hof lui-même dit ne pas s’inspirer du yoga Toumo. S’intéresser au froid est différent d’une pratique absolue.

Mais, et Leonardo insiste dessus, ce n’est pas grave ! La plupart des gens ont besoin d’une pratique abordable, ont seulement besoin de la surface, sans devoir dédier des années de leur vie à une pratique.

Il est toutefois important de voir le yoga au-delà du Hatha, Vinyasa, etc… car le yoga, c’est de la spiritualité avant tout !

Le yoga du rêve et du sommeil fait aussi partie d’un de ces 6 yogas de Naropa. On retrouve une approche similaire ailleurs, auprès des chamanes yaqui ou bien en Afrique noire.

Si le chamanisme yaqui t’intéresse, Carlos Castaneda a écrit une série de romans à propos des enseignements yaqui, comme Voir ou Voyage à Ixtlan.

Y a-t-il un moyen de faire un lien entre respiration, émotions et processus de guérison?

Un accès direct pour guérir, c’est la respiration. La méditation peut aussi faire des ponts entre le corps énergétique et le corps mental, tout en maîtrisant le corps émotionnel, qui est le moteur de plein de choses !

Leonardo classe différentes catégories de “corps”. Plus un corps est en haut, plus il a d’impact sur ceux du dessous :

• Le corps mental
• Le corps émotionnel
• Le corps énergétique
• Le corps physique

Pour faire un lien entre le niveau physique et énergétique, on peut facilement le faire par la respiration : les effets sont immédiats, on se sent mieux.

La respiration permet aussi de changer son état émotionnel et sa fréquence. Certaines techniques génèrent des émotions positives et permettent de nettoyer certaines énergies. C’est aussi le cas du mouvement, de la relation aux autres, de la méditation…

Le corps mental, lui, se gère avec la méditation. En maîtrisant son mental, on maîtrise les autres. On peut avoir une attitude mentale de gratitude et pleine d’intentions : pendant son marathon, Leonardo s’est efforcé de courir en joie malgré la douleur.

Pour Johanne Cammarata aussi, c’est primordial : quel est l’état de nos pensées ? Pourquoi est-il si important de bien choisir ses premières pensées dès le matin ?

Pour qu’il y ait guérison totale, tous les plans doivent être apaisés. On peut bien s’alimenter mais si nos émotions sont douloureuses, la guérison n’est pas complète.

Quels sont les chemins renfermés dans le mot “Ashtanga” ? Quel est l’objectif du véritable “Yoga” ?

Ashtanga signifie le chemin à 8 branches. Il se compose de 8 étapes :

• Yama : les règles de conduite en société et notre manière de relationner aux autres
• Nimaya : les règles de conduite avec nous-mêmes
• Asana : la position assise et la maîtrise de son corps. C’est se préparer à d’autres états de conscience en restant assis des heures.
• Pranayama : la maîtrise de son énergie vitale pour maîtriser le corps et l’énergie.
• Pratyahara: la maîtrise de son énergie mentale via le retrait des sens pour ne pas être distrait
• Dharana: la concentration
• Dhyana: la contemplation pour voir le vrai monde au-delà de l’illusion de ses sens
• Samadhi : l’illumination

Selon la tradition yogi, quand on maîtrise ces 8 étapes, on entre dans le Yoga, c’est-à-dire l’union de son mental individuel au mental collectif.

C’est un chemin spirituel ésotérique que peu de gens parcourent car il nécessite de faire du yoga toute la journée.

Ce que nous explique en détail Leonardo permet de faire le lien avec les propos de Micka Illouz : pour lui, les Occidentaux ne sont pas tous prêts à recevoir les profonds bienfaits du yoga, de la méditation ou même du zen car ce sont des disciplines issues de cultures spirituelles. Un travail préalable sur soi est nécessaire pour s’y lancer et faire un véritable travail.

C’est toujours une bonne chose d’aller faire un cours de yoga dans un centre, mais il est aussi important de comprendre ce que c’est à la base.

Qu’est-ce que le yoga tantrique blanc ? Quelle différence avec le rouge et le noir ?

Leonardo fait une formation de yoga tantrique blanc, le tantra de “la maîtrise de l’énergie, de la lumière, du parcours et de l’illumination”. Il utilise la méditation tantrique pour maîtriser son mental par le biais de mantras et de techniques de respiration.

Le tantra blanc est à différencier du tantra rouge qui vise à la maîtrise de l’énergie sexuelle (notamment à travers la Kundalini) et le tantra noir, plus difficile à maîtriser, et qui traite de la mort.

Qu’est-ce que l’Univers ? Y a-t-il une conscience collective ?

En s’intéressant à la philosophie, au bouddhisme, aux neurosciences, à la cosmogénèse, aux traditions et aux mythes, Leonardo s’est rendu compte qu’il y a beaucoup de choses communes entre les civilisations. Comme un grand “Un” connecté, bien qu’on le voie souvent de manière séparée puisqu’on est souvent centré sur nous-mêmes.

La démarche de Leonardo avec Inspire, c’est de se demander : “Comment je peux m’occuper de moi pour transcender mes limites afin que ça serve les autres ?” Si cela part d’une démarche égoïste, elle devient altruiste car l’idée est d’ensuite aider les autres. Et en aidant les autres, on s’aide soi !

L’illusion de la séparativité est encore forte selon ce qui nous entoure : il faut s’efforcer de se demander quelle est la base commune qui nous relie tous ? La planète Terre, la galaxie, nous sommes en connexion permanente via les lois de la nature.

Le scientifique Nassim Haramein met en avant que la géométrie physique de l’univers permet une interconnexion totale, qui explique l’espace de la conscience. La conscience est collective, même si on la pense individuelle !

L’avenir est-il déjà écrit ou sommes-nous responsables de ce qui nous arrive ? Avons-nous du libre-arbitre ?

Pour Leonardo, il faut à la fois se voir tout petit et insignifiant dans quelque chose de très grand, afin de réduire son égo par rapport à son image de soi.

Et en même temps il faut se rappeler que nous avons un impact : nous sommes tous puissants pour créer du bon.

“Je ne suis rien mais j’ai le choix de faire quelque chose de bien”

Si tout le monde fait quelque chose de bon, l’effet collectif peut être énorme. La Divine Matrice de Gregg Braden renferme des équations scientifiques pour expliquer le sujet.

Nous sommes capables de recréer une structure du monde et d’avoir de nouvelles valeurs, sous plusieurs formes d’action : la volonté, l’amour et l’intelligence.

Prendre action pour accéder à un élan collectif est une thématique qu’on aborde beaucoup sur le podcast, notamment avec Fabien, Florian Rousseau ou même Arnaud Dupin !

S’il existe une conscience collective, pourquoi y a-t-il des humains inconscients ?

Il s’agit peut-être d’un processus utile pour le cosmos. Quand une conscience s’incarne dans un humain, son processus de redécouverte se remet en place pour contribuer à l’évolution de l’univers.

Est-ce qu’il y a des consciences qui vont plus vite que d’autres ?

Est-ce qu’il y a des consciences plus vieilles que d’autres et qui auraient traversé ce processus plus de fois ?

Est-ce que le cours du monde a mal tourné ?

Est-ce qu’on aurait dû vivre autre chose et qu’on doit désormais corriger des tirs, ce qui fait que le monde est coupé entre ceux qui veulent nous diriger vers la bonne direction et ceux qui veulent continuer dans la mauvaise ?

Parfois, le mal est nécessaire pour que le bien existe : c’est en tout cas l’avis de Stephane Rodrigues. Tout le monde n’est pas fait pour s’élever !

Pourquoi faut-il le Mal pour faire le Bien ?

C’est un équilibre naturel. Leonardo nous rapporte les propos d’un guérisseur balinais qui défend ceux qui pratiquent la magie noire.

“Il faut qu’il y ait le mal pour qu’il y ait le bien”

Le mal ne doit pas être éradiqué. Il faut accepter qu’il existe et choisir son camp.

Choisir son camp est le principe raconté dans la Bhagavad Gita, modernement mis en scène dans Star Wars : l’ombre et la lumière sont deux faces d’une même pièce. On choisit si on bascule ou non.

C’est une question de libre arbitre.

Sommes-nous à un niveau inférieur d’autres types de civilisation ?

Selon Michio Kaku, s’il doit y avoir plusieurs types de civilisation dans le cosmos ou sur la planète, nous serions une civilisation de type 0.

• La civilisation de type 1 maîtrise les éléments de la nature
• La civilisation de type 2 voyage dans l’espace
• La civilisation de type 3 maîtrise l’espace-temps

L’idée qu’à notre niveau, l’univers soit toujours là et que d’autres civilisations peuvent nous observer, peut inspirer pour nous élever et dépasser notre corps physique.

On ne voit pas ces choses-là simplement parce qu’on n’a pas atteint le niveau pour les voir.

Qu’est-ce que le “Je” ?

Quand Leonardo dit “Je”, c’est un Moi lié à la matière, avec des besoins et des désirs. Il fait l’analogie avec un chevalier et son cheval. L’animal a des besoins, il veut manger et courir. Or, c’est le maître qui dirige.

C’est lui le vrai “Moi”.

L’idée est de dépasser l’aspect animal pour accéder à l’être (qu’on appelle aussi l’âme, l’entité, la maîtrise et le dépassement de ses désirs).

On s’attache souvent à notre égo car on place notre conscience au niveau du “Je”. Mais si on la décolle de ce “Je”, on s’en détache. On se détache de nos besoins et on peut choisir de vivre avec compassion, discipline et de faire les choses au service des autres.

Pourtant, les deux vont ensemble. Un chevalier ne va nulle part sans son cheval. Notre égo est fait pour être éduqué et qu’il devienne un bon compagnon.

C’est aussi l’avis de mon ami Staiv “Si on n’avait pas cet égo, on ne pourrait pas faire face aux situations. Sans sens de soi-même, on ne pourrait pas se repérer ou se protéger.” Le danger arrive quand l’égo prend le pas sur notre essence, le cheval sur le chevalier !

Pourrait-on communiquer avec d’autres entités, d’autres mondes ?

Il est possible de faire voyager la conscience dans d’autres sphères. Or, on est concentré sur le monde physique et incarné qu’on juge être la seule réalité.

Mais les corps énergétique, émotionnel et mental existent, même s’ils sont intangibles. Où sont-ils alors ?

Pour Leonardo, il y a plusieurs mondes existants en même temps, mais dans lesquels on a plus ou moins de conscience.

Travailler sa conscience permet d’y accéder : certains peuvent déplacer leur conscience ailleurs (dans monde des âmes, des morts, des anges, des archanges, des deva…) et d’autres simplement changer leur état de conscience pour pouvoir communiquer dans ces plans-là (via le travail de l’intuition).

“Ce n’est pas qu’on ne voit pas certaines choses qu’elles n’existent pas. Et ce n’est pas non plus qu’on n’expérimente pas des choses qu’elles n’existent pas !”

En quoi nos visions du monde matérialistes ou spirituelles forgent nos croyances et nos vérités ?

Notre vision matérielle du monde a du mal à imaginer des choses comme ça.

Mais quelqu’un né avec une vision spiritualiste pourrait-il comprendre le monde matérialiste ?

Ce n’est pas qu’une vision exclut certaines réalités que c’est le cas pour toutes. “On n’a pas besoin de tout comprendre” dit Amine Berradi alors qu’il parle du fait d’accepter les différentes visions des choses, notamment en termes de religion.

Les anciens égyptiens vivaient leur vie terrestre à préparer la mort qu’ils allaient avoir. Pour eux, la vie n’était qu’un moment de passage, ils faisaient tout pour préparer au moins là où, pour eux, il y a la vraie vie. Notre société à nous, au contraire, nous enjoint à profiter de notre passage sur terre sans penser à la mort !

Que dire des enfants et des choses qu’ils ressentent et qui nous dépassent ? Est-ce qu’on en sait plus qu’eux parce qu’on est éduqué ou est-ce que notre éducation nous limite au contraire par rapport à ce qu’on savait déjà ?

Nous parlons ici de conscience, mais les enfants ont énormément à nous apprendre également en termes de mouvement et de liberté dans le corps, comme David Tan nous l’explique.

Pour Leonardo, notre mission est d’oublier ce qu’on a appris. En grec ancien, la vérité se dit alètheia. Le a privatif et lètheia signifie “oubli”. La vérité serait donc de ne plus oublier et de se souvenir de ce qu’on sait déjà. En bref, désapprendre !

Sommes-nous sur le point d’accéder à plus de conscience ?

Même si ce n’est peut-être pas pour tout de suite, Leonardo pense que le niveau de conscience va remonter inévitablement. Mais cela mènera à une manière de vivre différente de celle d’aujourd’hui : il est donc important d’accepter la possibilité de vivre un jour avec moins de confort.

Mais c’est tout l’intérêt des discours des mouvers, tels que Pierre ou Staiv sur la résilience, l’antifragilié, les valeurs spirituelles comme le stoïcisme qui aident à faire le deuil des choses et permettent d’aller de l’avant !